Espoir pour un avenir radieux: Le rêve, l’optimisme et l’audace de Lamine Seydou Traoré , Ministre des Mines de l’Energie et de l’Eau
Le pari était énorme pour le Ministre Traoré, surtout dans le contexte de la crise multidimensionnelle que traverse notre pays, ajoutée à la pandémie COVID-19 et ses nombreuses conséquences négatives sur nous tous. Grâce à son engagement , ses compétences et son dynamisme, ses plaidoyers et ses lobbyings , le Ministre Traoré depuis sa nomination, a engagé une restructuration visionnaire au niveau du management de la Société Energie du Mali.
Voilà qu’à seulement une année à la tête du département des Mines de l’Energie et de l’Eau, les populations maliennes sont agréablement surprises de découvrir un nouveau visage jeune, légitime et charismatique . Lamine Seydou Traoré du haut de sa jeunesse et de son esprit républicain, debout est toujours en chemin à la recherche des réponses aux nombreuses demandes sociales des populations, missions pour lesquelles les hautes autorités de la transition.
En 14 mois notre pays est dans les meilleures dispositions d’apaisement du climat social eau et électricité et un début d’assainissement du secteur minier. Des résultats acquis et des perspectives nouvelles court, moyen et long termes pour le mieux-être des populations maliennes.
Ses défis pour mériter la confiance de sa hiérarchie et des populations maliennes.
1.Énergies:
Le défi de la réduction considérable des délestages, des branchement sociaux à faible coût pour les populations vulnérables. De gros investissements sont engagés pour le renouvellement des réseaux de distribution électrique , vétustes et obsolètes depuis des décennies. Les nouvelles acquisitions de la centrale électrique de Sirakoro. Des énergies renouvelables pour le développement des zones rurales (Des centrales hydrides ont été réalisées et d’autres sont en cours de réalisation pour booster le secteur énergétique).
Dans le cadre de la transition énergétique, d’importants et bénéfiques pour les populations rurales sont en cours afin de diminuer la part des centrales thermiques dans le mix énergétique au Mali et pour avoir des parts plus importantes des énergies renouvelables. Avec l’engagement du Ministre Lamine Seydou Traoré , et la mobilisation de son équipe des démarches conséquentes sont en cours auprès des partenaires privés pour la construction d’une centrale éolienne dans la région de Kayes à hauteur de 150 Méga . Cette station représente le tiers de la consommation énergétique du Mali en heure de pointe. En plus de l’énergie éolienne, des contrats de concession sont également envisagés afin de développer l’énergie solaire. Des centrales hydrides sont prévues sur l’ensemble du territoire national. L’hydro-électricité sera également développée. Dans ce cadre précis, des accords sont trouvés avec le promoteur du barrage de Kénié. « D’autres accords ont été signés pour la construction de trois autres barrages hydro-électriques dans la région de Sikasso. Sans compter les travaux de réhabilitations de certains barrages hydro-électrique ». A déclaré le Ministre Traoré dans un extrait de son interview sur le plateau d’une télévision privée locale.
« Nous plaçons une grande confiance au Ministre Lamine Seydou Traoré, de par sa jeunesse, sa vision prospective et son appartenance à une solidarité internationale et nationale pour le mieux être des populations locales. Je n’ai jamais vu dans notre secteur minier un ministre aussi intelligent, compétent que lui. Il incarne l’espoir du Mali dans ce domaine et son importance pour le Mali doit aller au-delà de la transition politique. Il a notre appui et notre accompagnement » propos d’un partenaire d’une SARL dans le domaine de l’énergie.
2. Eau potable :
Le défi de la disponibilité et de l’accessibilité à faible coût à l’Eau potable dans l’espace et le temps pour toutes les populations maliennes d’ici la fin de la transition en cours. De nombreuses stations de pompages d’eau potable pour les populations dans les localités enclavées de la capitale.
Une vision tarifaire qui est sans précédent dans notre pays sera désormais la vente de l’eau potable à juste prix à ceux qui ont la capacité financière de l’acheter. Pour rationaliser la subvention de l’état en eau potable «C’est inadmissible que les ambassades, les banques et des entreprises comme Orange et Malitel achètent l’eau aux prix subventionné par l’Etat du Mali. Cela ne peut pas continuer » avait déclaré le Ministre Traoré lors d’une interview sur une télévision privée malienne.
«Grâce à ces actions la production de l’eau se passe de la plus belle manière, atteignant une évolution de 34% pendant la période de transition par rapport à l’initial. Dans toutes les communes de Bamako, des investissements ont été faits dans la réalisation ou rénovation des canalisations pour permettre l’accès de plus de populations à l’eau potable » témoignent le directeur de la communication de la SOMAGEP, Abdoul Karim Koné.
« A son arrivée à la tête du département, les premières actions du ministre Lamine Seydou Traoré ont consisté à mettre en place au niveau de la production de l’eau une surveillance accrue des moyens de production pour éviter une rupture des intrants qui entrent dans le traitement de l’eau. Cela, pour sécuriser les consommateurs. C’est dans cette même dynamique qu’il a instruit la mise à niveau les canalisations dont la plupart d’entre elles étaient vétustes. » Cite un autre témoin.
Le défi de pérenniser dans un bref délai, la navigation sur le fleuve Sénégal (Mali, Sénégal et la Guinée)
3. Mines et pétrole
Le défi de l’assainissement du secteur minier et de l’apaisement du climat social minier afin que l’or brille pour le Mali et les Maliens avec le développement du contenu local (Postes stratégiques occupés par des Maliens . Que l’essentiel du personnel qui travaille dans les mines soit un personnel malien. Que l’essentiel de la sous-traitance dans les mines soit confié aux entreprises nationales).
Le défi de mobiliser les investisseurs privés sur la destination Mali dans le cadre du partenariat public-privé avec un climat d’affaires propice et sécurisé, gagnant-gagnant. Bamako a abrité courant ce dernier trimestre la 9 ème édition du Forum international des Mines. Avant son arrivée au département des Mines , le secteur minier était caractérisé par un faible contrôle de l’Etat sur des entreprises extractives, un code d’investissement qui n’était pas opérationnel en raison de l’absence d’un décret d’application de ce code d’investissement et minier.
Optimiste, son combat et son engagement personnel avant la fin de la transition en cours sera dans failles d’augmenter les investissements et les financements en attirant les investisseurs privés d’augmenter la part de l’état dans le budget de financement qui est à 4% en 2021.
Le défi du premier puits pétrole du Mali avant la fin de la transition en cours.
Selon le ministre Lamine Seydou Traoré, les investissements dans le secteur minier, sont très lourds. C’est pourquoi, les Codes miniers prévoient des clauses de stabilité, c’est-à-dire les investisseurs miniers ne sont pas automatiquement assujettis aux changements de législation qui interviennent durant la durée de vie d’une mine. Néanmoins, le nouveau Code minier prévoit la valorisation des contenus locaux. Des pourparlers sont entrepris avec les partenaires pour que l’application de cette disposition puisse être effective.
Le défi de trouver une solution à la problématique de l’orpaillage illégal avec la création d’un centre de gestion du patrimoine minier du Mali. De nos jours en raison de cette pratique dangereuse , ajoutée à la pandémie COVID-19, une importante quantité de l’or de notre pays n’est pas déclarée et échappe au contrôle de l’Etat.
Rassemblé par Mamadou Camara Madou’s