TICAD 9 : L’Algérie en pleine dérive, la réponse magistrale du Japon et la vigilance du Maroc
La 9ème Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD 9) a débuté le 24 août 2024 à Tokyo, marquée par une tentative de déstabilisation orchestrée par l’Algérie. En pleine manœuvre, l’Algérie a tenté d’imposer la présence illégitime des séparatistes du Polisario à cette réunion ministérielle, en violation flagrante des règles établies par le pays hôte, le Japon. Cette énième provocation a non seulement mis en lumière la dérive algérienne, mais a également confirmé le leadership incontestable de Sa Majesté le Roi Mohamed VI dans la défense de l’intégrité territoriale du Maroc.
Une tentative déguisée qui tourne au fiasco
La TICAD 9, réunion ministérielle préparatoire à la conférence principale, est un cadre exclusivement réservé aux pays membres de l’ONU. Le Japon, en tant qu’organisateur, avait rigoureusement limité les invitations aux États membres, excluant explicitement la pseudo « RASD » et ses acolytes du Polisario. Toutefois, sous le couvert de passeports algériens et en tant que prétendus membres de la délégation algérienne, les séparatistes ont tenté de se faufiler dans cette enceinte diplomatique de haut niveau. Le subterfuge est allé jusqu’à placer clandestinement un cartable au nom de la RASD sur la table, dans l’espoir de duper la vigilance des organisateurs. Heureusement, cette imposture a été rapidement détectée et dénoncée par la délégation marocaine, soutenue par d’autres pays africains présents.
La réponse ferme du Japon
Face à cette manœuvre maladroite, la réaction du Japon a été immédiate et sans équivoque. Le haut fonctionnaire japonais présidant la réunion a rappelé avec fermeté la position officielle de son pays : seule la délégation marocaine est reconnue à cette conférence, excluant ainsi toute légitimité à une prétendue délégation de la RASD. Cette clarification publique constitue un désaveu cinglant pour l’Algérie, qui voit sa stratégie de manipulation diplomatique échouer lamentablement.
La détresse de l’Algérie face à la dynamique Marocaine
Cet épisode illustre parfaitement la détresse de l’Algérie, qui s’accroche désespérément à une cause perdue. Depuis la proclamation de cette entité fictive en 1976, une quarantaine de pays ont retiré leur reconnaissance de la RASD, et les grandes puissances mondiales, dont les États-Unis, la France, l’Allemagne, ainsi que l’Union européenne, n’ont jamais reconnu cet état. En réalité, l’Algérie persiste à soutenir un projet sans avenir, tandis que la dynamique internationale tend irrémédiablement vers la reconnaissance de la souveraineté marocaine sur le Sahara, sous l’impulsion visionnaire de Sa Majesté le Roi Mohamed VI.
Une Algérie en perdition face à la diplomatie éfficace du Maroc
En fin de compte, la tentative algérienne de forcer la main lors de la TICAD 9 s’est avérée être un véritable fiasco. La vigilance du Maroc et le soutien sans faille du Japon ont une nouvelle fois mis en échec les manœuvres désespérées de l’Algérie. Au lieu de renforcer sa position, l’Algérie ne fait que révéler sa propre faiblesse, son incapacité à évoluer dans un cadre diplomatique rationnel et son isolement croissant sur la scène internationale. La dynamique en faveur de la souveraineté marocaine se renforce, laissant l’Algérie s’enliser dans ses propres contradictions.
Mamadou Camara, info360.info
