Politique

Algérie : Le Cauchemar diplomatique de l’Afrique face à la brillante ascension du Maroc

La semaine dernière a été marquée par deux événements majeurs pour l’Afrique : le 2ème Forum Indonésie-Afrique à Bali et le 4ème Sommet du Forum de Coopération Chine-Afrique à Pékin. Pour les observateurs avertis, le Mali semble aujourd’hui être une cible stratégique pour l’armée algérienne. Ces rencontres ont mis en lumière, une fois de plus, l’influence croissante du Maroc sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

En contraste, l’Algérie, enfermée dans une diplomatie obsolète et agressive, s’est retrouvée isolée, avec sa chimère de la prétendue « rasd » démasquée pour ce qu’elle est réellement : une entité sans reconnaissance ni légitimité.

Diplomatie Marocaine vs Diplomatie Algérienne

Le constat est frappant.
Le Maroc, à travers ses multiples participations aux grandes rencontres internationales, incarne un modèle de diplomatie proactive, constructive, et respectueuse de la légalité internationale. À l’opposé, l’Algérie persiste dans une diplomatie d’agression et de manipulation, cherchant désespérément à imposer la pseudo « rasd » dans des partenariats où elle n’a ni place ni légitimité. Alors que le Maroc œuvre pour la paix, la stabilité, et le développement durable en Afrique, notamment au Mali, l’Algérie, par ses manœuvres sournoises, met en péril l’unité et le progrès du continent.

Le spectacle désolant de l’Algérie à la TICAD

L’un des exemples les plus révélateurs des dérives algériennes que notre rédaction avait souligné il y a quelques semaines, est l’incident survenu lors de la TICAD en août dernier. La diplomatie algérienne, en manque flagrant de scrupules, a tenté d’infiltrer la pseudo « rasd » dans cet événement en recourant à des pratiques frauduleuses. Cette supercherie n’a fait que ternir l’image de l’Algérie, confirmant l’isolement croissant de ce pays sur la scène internationale. Au Mali, de nombreuses populations se rallient au Maroc et ne comprennent pas pourquoi l’Algérie, autrefois considérée comme un frère, s’acharne à semer le désordre dans leur pays. Le Mali et le Maroc, liés par une histoire et une culture communes, notamment à Tombouctou, voient leur coopération se renforcer tandis que l’Algérie perd tout crédit.

Une Leçon pour l’Afrique et ses partenaires

L’Échec cuisant de l’Algérie pour ne pas dire le fiasco diplomatique algérien à Tokyo n’est pas un cas isolé. Les succès récents des sommets de Pékin, Séoul, et Bali, auxquels la pseudo « rasd » n’a pas été invitée, illustrent clairement la reconnaissance internationale de la souveraineté marocaine sur le Sahara. Ces succès sont le fruit d’une diplomatie marocaine fondée sur le respect de la légalité internationale et des relations bilatérales solides, contrastant fortement avec l’approche agressive et infructueuse de l’Algérie.

Pour que l’Afrique continue sur la voie de la prospérité, de la stabilité, et du développement, elle doit impérativement se débarrasser des éléments perturbateurs tels que l’entité fictive de la « rasd », maintenue artificiellement en vie par une Algérie en perte de repères. Le Maroc, par son engagement inébranlable pour le développement de l’Afrique et son respect des normes internationales, se positionne comme un leader incontesté du continent. Les nations africaines, ainsi que leurs partenaires internationaux, doivent reconnaître la réalité du terrain et travailler ensemble pour marginaliser les forces nuisibles à l’unité et au progrès du continent.

Mamadou Camara info360.info

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