Audio explosive Boubou-ADO : L’ennemi principal n’est donc pas loin !

Les autorités de la Transition malienne dérangent autant ! surtout des personnes qui ont vu leurs intérêts nocifs dégrafés au profit de ceux du peuple souverain. Ce constat est de plus en plus palpable eu égard à l’enregistrement vocal attribué à Boubou Cissé, ancien premier ministre du régime déchu, et Alassane Dramane Ouattara, le président Ivoirien.

Avant l’authentification de cette une conversation téléphonique qui fait la Une des réseaux sociaux, Boubou Cissé, non moins détenteur des leviers de l’ancien pouvoir d’IBK avait déjà été reconnu comme le cerveau d’une tentative de déstabilisation de la transition en cours, car il aurait joué un rôle central dans une tentative « d’atteinte à la sûreté intérieure de l’État ».

Cet ancien bourreau de nombreux compatriotes opérateurs économiques, qui avait occupé des postes ministériels stratégiques, nourrissait des véritables ambitions présidentielles. N’y était la vigilance du Colonel Assimi Goita et ses hommes, qui a permis de limiter les dommages du régime d’IBK, l’homme a multiples facette Boubou pourrait disposer du fauteuil présidentiel.

En effet, cette conspiration foirée était, selon des témoins, bien soutenue par Me Kassoum Tapo, président du soi-disant Mouvement pour La Refondation du Mali(MOREMA). Pour ceux qui le connaissent, Me Tapo, le désormais avocat de monsieur Cissé, a toujours été au rendez-vous des salles affaires.

Boubou Cissé veut « détruire » …

Vue qu’il entretient des bonnes relations avec le véritable instigateur des sanctions engagées contre le Mali, Alassane Dramane Ouattara, Boubou Cissé ne peut qu’être vu comme un ennemi véritable du Mali et de son peuple. Le caractère douteux qui sied avec sa manière d’être doit, d’ores et déjà, nous orienter par rapport aux ambitions suspectes de cet oiseau de mauvaises augures, qui se donne pour missions, non seulement de repérer d’éventuelles entraves à la bonne marche de la période transitoire, mais aussi de contribuer à la déstabilisation notre pays.

Si Boubou Cissé espérait l’asphyxie des autorités de la transition, suites aux sanctions engagées contre le Mali ; qu’il se rappelle que les autorités de transition tiennent encore après un mois du sommet extraordinaire de la Conférence des Chefs d’État et de Gouvernement de la CEDEAO, tenue le 9 janvier 2022, à Accra sur la situation du Mali.

Hormis la CEDEAO et son acolyte de la France, des grandes puissances n’ont cessé de renforcer les coopérations bilatérales qui les lient à notre pays. D’où la présence de nombreux diplomates accrédités dans notre pays, malgré la crise. Aujourd’hui, ces personnalités qui assurent la haute représentation de leurs nations respectives sur le sol malien, peuvent témoigner la réelle volonté de nos autorités à aller vers le dialogue avec la communauté internationale, pour un revenir à l’ordre constitutionnelle.

En attendant que le parquet du tribunal de la commune 4 de Bamako ne donne suite au dossier « conversation téléphonique entre Boubou et ADO » visant à porter atteinte à la sûreté intérieure et extérieure du Mali, l’asphyxie illégale voulue par certains, ne saurait être une réalité.

Mouhamar/info360.info

 

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